Cette bourse vise des chercheur·es étrangers·ères qui souhaitent visiter le Centre LIVES à Lausanne ou à Genève pour une durée d’au moins deux mois et couvre des frais de voyage et/ou de logement. Huit chercheur·es nous rendront visite dans le courant de 2023.
Le Centre LIVES propose trois types de financements afin de soutenir l'innovation dans la recherche au sujet des parcours de vie: le "seed money", "Young scholar" et "Visitor". Ces financements sont adressés aux membres du Centre LIVES ainsi qu'au réseau étendu de chercheur·es étudiant le parcours de vie et la vulnérabilité.
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Fiacre BAZIE est Doctorant/Assistant de Recherche à l’Institut Supérieur des Sciences de la Population (ISSP) de l’Université Joseph KI-Zerbo de Ouagadougou, Burkina Faso où il travaille au sein de l’unité de recherche population et santé. Depuis près de dix (10) ans, Mr BAZIE a travaillé sur divers projets portant sur des thématiques diverses dont la santé de la reproduction et la planification familiale, les avortements, la santé des adolescents, etc. Ces travaux de recherches doctorales portent sur l’autonomisation et la santé sexuelle et reproductive des adolescentes et jeunes femmes au Burkina Faso. |
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Christoph Henking est en deuxième année de doctorat au département de politique sociale et d'intervention de l'Université d'Oxford. Ses recherches portent sur les déterminants sociaux de la santé mentale tout au long de la vie et sur l'identification des politiques sociales susceptibles de réduire les inégalités en matière de santé mentale. À Oxford, il travaille avec le professeur Aaron Reeves et le docteur Ben Chrisinger, experts en matière de recherche sur les inégalités de santé et l'économie politique de la santé. Il est titulaire d'une maîtrise en psychologie sociale de la London School of Economics (LSE) et d'une licence de l'université de Constance, en Allemagne. |
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Miika Kekki est chercheur doctorant en politique sociale et publique à l'université de Finlande orientale. Sa thèse de doctorat porte sur l'orientation professionnelle des migrant·es adultes sans emploi qui suivent un programme national de formation à l'intégration. Il s'intéresse particulièrement à la manière dont les conseiller·ères d'orientation professionnelle, en tant qu'intégrateur·ices au niveau de la rue, utilisent différentes pratiques et approches liées au pouvoir dans leur travail. Avant ses études doctorales, il a obtenu une maîtrise en sciences politiques et en français. Il a également travaillé en tant que praticien et formateur indépendant dans le domaine de l'orientation professionnelle pendant plusieurs années, tant en Finlande qu'à l'étranger. |
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Anna Manzoni est professeur associé de sociologie à l'université d'État de Caroline du Nord (États-Unis). Ses recherches actuelles portent sur la transition des jeunes vers l'âge adulte, le soutien intergénérationnel, les inégalités dans l'accès à l'université et les résultats obtenus, ainsi que sur la mobilité sociale en général. Ses travaux ont été publiés dans Advances in Life Course Research, Journal of Family Research, Journal of Youth and Adolescence, Journal of Higher Education, PLOS one, Research in Higher Education, Social Social Forces, Sociological Methodology, parmi d'autres revues. |
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Paulina Pankowska est professeur adjoint au département de sociologie de l'université d'Utrecht. Auparavant, elle a été chercheuse postdoctorale aux départements de sociologie et de sciences de la communication de la Vrije Universiteit Amsterdam. Ses recherches portent sur la qualité des données et des méthodes. Elle dirige la tâche de benchmarking ODISSEI, qui vise à organiser un benchmark d'algorithmes pour les sciences sociales. Elle participe également à un projet dans le domaine de la sociologie du changement climatique qui se concentre sur le problème de la surconsommation. |
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Roujman Shahbazian a obtenu son doctorat en sociologie à l'Institut suédois de recherche sociale (SOFI) de l'université de Stockholm en 2018. Il travaille actuellement à l'université de Munich. Ses recherches portent sur la stratification sociale et les études sur le développement. Shahbazian a travaillé sur plusieurs projets interdisciplinaires, se concentrant sur les revenus et les carrières dans une perspective de parcours de vie. Ses publications comprennent des études sur les aspects empiriques de la mesure de la classe sociale pour la mobilité sociale, les modèles de carrière à travers les cohortes et la façon dont la famille d'origine façonne les attitudes à l'égard du risque. Il a publié dans des revues telles que European Sociological Review, Social Science Research, Journal of Economic Inequality et Empirical Economics. |
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Natalie Sisson est étudiante en doctorat à l'Université de Toronto, au Canada, sous la supervision du Dr Emily Impett. Ses recherches portent principalement sur les relations étroites, la régulation interpersonnelle et le bien-être. Elle utilise de multiples méthodes (expérimentales, dyadiques, longitudinales, qualitatives) pour étudier les objectifs que les gens poursuivent pour leurs proches (partenaires romantiques, enfants, etc.) et les avantages et les coûts de ces poursuites pour les résultats personnels et interpersonnels. |
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Antonina Zhelenkova est étudiante en troisième année de doctorat en sociologie économique et études du travail à l'université de Milan. Sa thèse de doctorat est consacrée aux inégalités entre les hommes et les femmes en matière d'éducation et d'emploi, examinées d'un point de vue multidimensionnel. L'étude se concentre sur les inégalités éducatives verticales (scolarisation) et horizontales (choix du domaine/de la filière), explore la manière dont les différentes sources de vulnérabilité, telles que le sexe, la situation familiale et l'origine sociale, interagissent et s'amplifient mutuellement, et analyse les résultats d'intérêt non seulement à un moment donné, mais aussi à moyen et long terme. |
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